Il tire son origine des hauts vergers de l’ancien couvent des Mínimos de la Victoria aujourd’hui, disparue. Déjà en 1575, le père Antúnez avait fait l''acquisition de ces vergers pour y construire son logement quoique, ce que nous connaissons aujourd’hui, remonte au XIXe siècle.

Son extension actuelle est le fruit de l’union de deux parcelles : le carmen del Pencal et le carmen del Olivarillo. Sa zone la plus ancienne est l’allée des cyprès située dans la partie haute, complétée par des carrés d’arbres fruitiers et des plantes ornementales entourées de haies entre lesquelles apparaissent de petites fontaines. Tout l’ensemble est un clair exemple des carmens régionalistes du XIXe  siècle.

C’est aujourd’hui la résidence des invités de l’Université de Grenade.